Avouez que ce n’est pas cher payé pour dévorer deux petits chefs-d’œuvre de noirceur, dont les héros sont (comme d’habitude chez Dard) faibles et lâches à en pleurer. Vive les bouquinistes.
Avouez que ce n’est pas cher payé pour dévorer deux petits chefs-d’œuvre de noirceur, dont les héros sont (comme d’habitude chez Dard) faibles et lâches à en pleurer. Vive les bouquinistes.