C’est le titre de mon troisième roman. Le 7 juin prochain, il sort comme les deux premiers à la Manufacture de Livres. Mon éditeur, Pierre Fourniaud, ne semble pas fatigué de notre collaboration artistique peu rémunératrice. Moi non plus, apparemment.

Mais attention, cette fois, pas de projection de notre société sur le mode comico-polaro-dystopique. Ça va bien un moment le mélange des genres qui me coupe de la moitié de mes lecteurs… Quand on connaît les chiffres de mes ventes, eh ben je vous jure qu’en les réduisant de 50 % ça ne laisse que mes amis et ma patiente épouse. Non, j’ai pris mes précautions. L’action se déroule à la fin des années 70 (nostalgie) et c’est une affaire de drogue (violence).

C’est aussi l’histoire d’un jeune homme à peine sorti de l’adolescence (identification de 100 % des lecteurs) qui prend soin d’une petite guenon (attendrissement), le tout émaillé de rock’n’roll (re-nostalgie).

Je vous fais le « pitch » (modernité) : un garçon de 17 ans s’ennuie dans sa ville de province. Il recueille le singe capucin d’un dealeur accusé par ses grossistes du vol d’un kilo de cocaïne. Il ne s’ennuie plus du tout…